◄I Pop-Rock I►
………..bientôt………..
Allez hop !
par Monsieur Mèche
Le gris du noir te dit pour le jour
Le gris du noir te dit pour l’amour
Le gris du noir te dit pour toujours
Le gris du noir te dit…
Allez, allez…
Stop !
Je démissionne
Allez hop !
Je m’en vais loin
Allez hop !
Je rejoins la fête
Allez hop !
Hop !
Je révolutionne
Allez hop !
Je me sens bien
Allez hop !
N’en fais qu’à ma tête
Allez hop !
Stop !
Je démissionne
Allez hop !
Je m’en vais loin
Allez hop !
Je rejoins la fête
Allez hop !
Hop !
Je révolutionne
Allez hop !
Je me sens bien
Allez hop !
N’en fais qu’à ma tête
Allez hop !
Hop !
Je révolutionne
Allez hop !
Je me sens bien
Allez hop !
N’en fais qu’à ma tête
Et c’est Pop !
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
Courant d’air
par Kiwi
Couper ton herbe sous mes pieds
M’imaginer dans un lance-pierres
Tu as su faire, en février
Avec l’art et la manière
C’est en mars, je crois, et des poussières
Que tu m’as évaporé
Vent debout, vent arrière
Tu nous auras fait vriller
Depuis,
Je suis dans un courant d’air
Je claque des dents
Je suis au bord
Mes doigts me serrent
Et je tremble
Je suis un garçon glacé
J’en ai ma claque, de l’hiver
Comme à chaque fois que je décembre
Je suis nu comme un ver
Et j’octobre dans la rue
L’hémisphère nord me désespère
Alors, je souffle
Pour chauffer ma place
Glace fondue
Sinon je suis foutu
Avril, mai, juin
Les mois défilent
Et je rejoins celui des fous
Juillet, août, septembre
Le temps file
Jusqu’au mercredi des cendres
Le mois du blanc
Je tire sur la corde, file un mauvais coton
Évidemment
Et si je m’habille monocorde, ton sur ton
C’est dans un linge sale de famille
C’est dit…
Je suis dans un courant d’air
Je claque des dents
Je suis au bord
Mes doigts me serrent
Et je tremble
Je suis un garçon glacé
J’en ai ma claque, de l’hiver
Comme à chaque fois que je décembre
Je suis nu comme un ver
Et j’octobre dans la rue
L’hémisphère nord me désespère
Alors, je souffle
Pour chauffer ma place
Glace fondue
Sinon je suis foutu
Je suis nu…
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
J’ai vu
par Radia et D.U.O
J’ai vu la terre du bout du monde
J’ai vu cette prairie en faillite
J’ai vu la bombe
La dynamite
J’ai vu la mer en catastrophe
J’ai vu le ciel en noir et blanc
J’ai vu comment les philosophes
Ne s’habillent plus qu’en basse étoffe
Ne finissent plus qu’à ne faire rien d’autre que rire, simplement
Et puis bof
Écrire par terre
Salir les murs
Un jour se taire
L’autre un murmure
J’ai vu la guerre du bout des yeux
J’ai vu la chienne
Le pire, la haine
S’entredétruire
Pour vivre à deux
J’ai vu la paix comme on fait croire
Aux enfants roi
Qu’ils sont parfaits
Pourtant j’ai vu ce drapeau blanc
Ne plus savoir flotter au vent
Dimanche, lundi, dis-moi comment
Mourir par terre
Ou contre un mur
Dessine au sol un arc-en-ciel
Pas même un cœur artificiel
Aime-moi pourtant
Aime-moi longtemps
Aide-moi autant que le diable
M’emporte dans le vent
J’ai vu la pluie, j’ai vu l’acide
J’ai vu le désert en pagaille
La pierre qui tombe
J’ai vu la faille
J’ai vu le monde entier pleurer
Couler, verser deux ou trois larmes
Ce n’est pas faute d’avoir tiré
Sur la sonnette, le signal
Au croisement c’est le clash en somme
Notre histoire fâche, histoire banale
À bord du train où vont les roses
L’alarme ne sert plus à grand-chose
Aime-moi pourtant
Aime-moi longtemps
Aide-moi autant que le diable
M’emporte dans le vent
Aime-moi pourtant
Aime-moi longtemps
Aide-moi autant que le diable
M’emporte dans le vent
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
Je te dis vous
par Arnaud Dublin
Le doute s’installe quand je te dis vous
Le doute s’installe c’est sûr entre nous
Je tousse, hésite et même quand je te dis je t’aime
Je te pousse à dire que c’est un problème
La route s’efface quand je te dis viens
La route s’efface à mesure du chemin
Ma douce es-tu certaine de vouloir continuer
Car c’est dans la brousse que je t’entraine pour t’abandonner
C’est fou comme le temps me presse d’en finir
C’est fou comme je te blesse à sourire
Ma belle, éteins ton cœur s’il te plait
Tu n’es plus celle
Qui bat le mien
Tu n’es plus celle qui me plait
Demain je change de vie, je change d’adresse
Demain j’échange nos caresses et notre lit
Avec celles d’une hirondelle, avec le nid d’un oiseau bleu
Avec cette aile qui t’a pris ton amoureux
La messe est dite alors évite-moi mes serments
La messe est dite et que le diable m’emporte
Mon cœur il faut nous taire, fermer ta porte aux sentiments
Quitter l’enfer et se noyer dans l’eau bénite
Pas de défaite ni de conquête mais simplement
Un air de fête, une chose de faite en remplaçant
Mon amour pas éternel par un amour au conditionnel
Et la roue tourne jusqu’au prochain débarquement
Cara mia, c’était toi c’était moi
Mais aujourd’hui c’est à minuit que je m’en vais
Voyage à Naples, en Italie
Week-end à Londres et à Paris
Je ne suis plus qu’une ombre dans ta vie
Et tu le sais
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
Mon cœur entier, et invincible
par Alexandre Désiré
Il y aura des hivers
Il y aura des printemps
Il y aura de l’amour avec toi, et longtemps
Il y aura et c’est clair
Des jours avec et des sans
Quand je compte sur mes doigts
Je compte surtout sur toi
Il y aura cette présence à toute heure
Il y aura cette cadence invisible
De mon cœur entier, et invincible
Il y aura autour des étincelles
Il n’y aura jamais trop tôt trop tard
Il y aura toujours un seul regard
Ma belle
On ne se dira jamais je t’aime
C’est bien trop grand, trop important
Pour le gâcher dans un poème
Pour le montrer, c’est évident
Et c’est bien comme ça
Il y aura sur ta joue
Il y aura sur mes lèvres
Un petit goût de nous
Un baiser sur nos rêves
Il y aura dans tes bras
Il y aura dans les miens
Cet enfant qui est là
Ce diamant à ton sein
Il y aura je t’embrasse et je t’emmène
Poser les traces de nos je t’aime
Au jardin secret et idéal
Refaire le tour d’un grand soleil
Rejoindre les îles
Plonger au ciel
Mourir d’amour et d’éternel
Ma belle
On ne se fera jamais je t’aime
C’est bien trop grand, trop important
Pour se l’écrire dans un poème
Pour se le dire, c’est évident
Et c’est mieux comme ça
Il y aura de la neige
Il y aura de la pluie
Quand un soleil protège
C’est la nuit qui s’enfuit
Il y aura de l’eau claire
Il y aura dans nos vies
Un rayon de lumière
Et il y aura aussi…
Il y aura de l’or et des merveilles
Il y aura ton sourire, et si fort
À en faire rougir le bleu du ciel
Ma belle
On ne se dira jamais je t’aime
C’est bien trop grand, trop important
Pour le gâcher dans un poème
Pour le montrer, c’est évident
Et c’est bien comme ça
On ne se dira jamais…
Et c’est bien comme ça
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
Naître des anges
par Tiroots
Le vent du soir retient son souffle
Le ciel immense est un espoir
Descend le miel jusqu’à ta bouche
Aussi intense que la nuit noire
La nature dort, et si heureuse
Que nos deux corps ne font plus qu’un
Dehors, la mer est silencieuse
Et à mesure qu’elle va et vient
Viens !
Mords !
Ta braise effeuille ma peau boisée
S’enflamme au jeu de mes caresses
Ni ne se calment, ni ne se blessent
Nos longs baisers sur la falaise
Il y a l’enfant qui naît des anges
Le regard clair posé sur tout
Aussi étrange que soit son sang
Sa vie éclaire l’autre de nous
Les quatre marches vers l’infini
Du pied du sol au paradis
Quand tu m’attaches en bouche à bouche
Quand tu m’affoles, quand tu me touches
La fleur est belle, ainsi soit-elle
Poussée au cœur d’un arc-en-ciel
Bouquet de peurs jeté au feu
Ne reste rien d’autre qu’un homme heureux
La neige est fraîche
Montagne blanche
Suivre les flèches
Jusqu’à tes hanches
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
Sans toi, ni moi
par Monsieur Mèche
Si je te jette du poivre dans l’œil
Si je le regrette
Seras-tu la seule à rire
Si je m’arrête avant la fin
Si je le regrette
Au bout du chemin, et pire
Que penses-tu de moi
Que penses-tu de toi
Que penses-tu de nous, avec moi
Je n’sais plus le temps
Je n’sais plus l’argent
Le vent
Et toi, et moi
Je n’sais plus comment
Je n’sais plus pourtant
Les gens
Sans toi, ni moi
Si je m’arrête avant la fin
Si je le regrette
Au bout du chemin, et pire
Que penses-tu de moi
Que penses-tu de toi
Que penses-tu de nous, avec moi
Je n’sais plus comment
Je n’sais plus pourtant
Les gens
Sans toi, ni moi
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
UN, DEUX, TROIS
PAR CHIARA VOLPE ET NO END DATE
Qu’est-ce que tu dis, toi, quand tu chantes
Qu’est-ce que tu dis, toi, quand tu danses
Qu’est-ce que tu dis quand les jours de pluie s’arrêtent
Et font des jours de chance
Qu’est-ce tu dis, toi, quand tu rêves
Qu’est-ce tu dis, est-ce que tu rêves ?
Est-ce que tu sais que ta vie est un grand jour
Et toujours se relève
Eh bien !… Moi je dis
« 1 je ris quand je pleure
2 je vis quand je meure
Et 3 l’amour me sourit dans tes bras »
« 1 je le crie sur les toits
2 je le serre sur mon cœur
Et 3 toujours avec toi, et c’est comme ça »
Qu’est-ce que tu dis, toi, dans ta tête
Qu’est-ce que tu dis, est-ce que tu regrettes…
Qu’est-ce que tu fais quand le jour se lève
Serrer les poings, les dents peut-être…
Qu’est-ce que tu dis, toi, dis-le-moi
Qu’est-ce que tu dis, toi, tiens… J’y pense
Qu’est-ce tu fais quand l’amour se perd
Quand vient le tour d’un grand silence
« 1 je ris quand je pleure
2 je vis quand je meure
Et 3 l’amour me sourit dans tes bras »
« 1 je le crie sur les toits
2 je le serre sur mon cœur
Et 3 toujours avec toi, et c’est comme ça »
. Paroles et musique .
. Olivier Dargellès .
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