Je te dis vous
. par Arnaud Dublin .
Le doute s’installe quand je te dis vous
Le doute s’installe c’est sûr entre nous
Je tousse, hésite et même quand je te dis je t’aime
Je te pousse à dire que c’est un problème
La route s’efface quand je te dis viens
La route s’efface à mesure du chemin
Ma douce es-tu certaine de vouloir continuer
Car c’est dans la brousse que je t’entraine pour t’abandonner
C’est fou comme le temps me presse d’en finir
C’est fou comme je te blesse à sourire
Ma belle, éteins ton cœur s’il te plait
Tu n’es plus celle
Qui bat le mien
Tu n’es plus celle qui me plait
Demain je change de vie, je change d’adresse
Demain j’échange nos caresses et notre lit
Avec celles d’une hirondelle, avec le nid d’un oiseau bleu
Avec cette aile qui t’a pris ton amoureux
La messe est dite alors évite-moi mes serments
La messe est dite et que le diable m’emporte
Mon cœur il faut nous taire, fermer ta porte aux sentiments
Quitter l’enfer et se noyer dans l’eau bénite
Pas de défaite ni de conquête mais simplement
Un air de fête, une chose de faite en remplaçant
Mon amour pas éternel par un amour au conditionnel
Et la roue tourne jusqu’au prochain débarquement
Cara mia, c’était toi c’était moi
Mais aujourd’hui c’est à minuit que je m’en vais
Voyage à Naples, en Italie
Week-end à Londres et à Paris
Je ne suis plus qu’une ombre dans ta vie
Et tu le sais
. Paroles et musique : Olivier Dargellès .
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